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Mesurer son âge épigénétique, à quoi ça sert ?

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Quelques cas concrets

Monsieur R : âge civil 65 ans, militaire à la retraite, excellente condition physique, 2 heures de sport quotidien depuis toujours, diététique parfaite, non fumeur. Aucun problème de santé apparent.

Âge épigénétique : 66,8  = alerte

Après analyses complémentaires (parcours longévité clinique de  3 heures, biologie spécialisée) : prédiabète de type 2 diagnostiqué. Traitement par Metformine recommandée

Madame M : âge civil 87 ans, ancienne professeur d’économie, pas de sport mais monte 4 fois par jour 3 étages à pied (jamais d’ascenseur), n’a jamais fumé, diététique saine sans excès. Pas de problème de santé apparent.

Âge épigénétique : 76,2 = excellent

On peut rassurer cette dame et lui expliquer qu’elle n’a pas plus de risque de maladies qu’une femme de 11 ans de moins qu’elle. Statistiquement elle a donc plus de chance de vivre encore de longues années en bonne santé.

Monsieur K : âge civil 21 ans, sportif mais fumeur et consommateur de produit illicites, diététique relativement mauvaise, poids normal, aucun problème de santé apparent.

Âge épigénétique : 34,7  = très mauvais

La prise de conscience d’une accélération de son vieillissement naturel lui fait stopper immédiatement le tabac et les produits illicites. Nous l’orientons vers une consultation spécialisée et lui proposons un suivi médicalisé. Dans six mois nous lui proposerons de refaire son âge épigénomique pour voir les résultats de ses efforts.

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